Week-end à Taipei
4.8
Week-end à Taipei

Film de George Huang (2024)

Week-end à Taipei, ou le Fast and Furious du love toxique

Luke Evans : l’agent de la DEA qui ferait er James Bond pour un stagiaire


Imaginez un type qui dégaine plus vite qu’un sniper de Call of Duty et qui roule dans les rues de Taipei comme si c’était un DLC de Need for Speed. Voilà Luke Evans dans Week-end à Taipei. Sérieusement, ce gars-là est une machine. Il est tellement intense que même les feux rouges le laissent er sans broncher.


Gwei Lun Mei : pilote de course et briseuse de cœurs


Et face à lui, Gwei Lun Mei, une pilote tellement douée qu’elle pourrait faire des drifts autour de Vin Diesel et le laisser en plan. Son personnage, Joey, est une tornade de style et de vitesse, capable de te foutre la chair de poule juste en démarrant une bagnole. Mais attention, elle a aussi un côté Kill Bill : douce mais mortelle.


Luc Besson aux commandes : une recette déjà vue, mais qui marche


Luc Besson, fidèle à lui-même, nous sert un cocktail explosif d’action et de romance. On est clairement dans sa zone de confort, mais, soyons honnêtes, c’est tout ce qu’on demande. C’est du cinéma qui claque, avec des poursuites, des explosions, et des répliques aussi subtiles qu’un missile dans GTA. Le scénario ? Simple. Mais qui regarde ça pour le scénario, franchement ?


Taipei : un décor qui envoie du lourd


Le vrai héros ici, c’est Taipei. La ville est filmée comme si elle était un personnage à part entière. On a des néons partout, des ruelles étroites, et des bâtiments qui semblent crier : "Viens faire une course-poursuite ici !" Entre deux bastons, on pourrait presque croire qu’on est dans un Yakuza en monde ouvert.


Action, amour et adrénaline : le trio gagnant


La force du film, c’est ce mélange explosif d’action et de romance. Une minute, tu te fais happer par une scène de bagarre où Luke Evans explose des mâchoires ; la suivante, tu te prends un dialogue ultra cheesy entre deux ex qui n’ont toujours pas digéré leur rupture. C’est tellement cliché que ça en devient génial.


Conclusion : un plaisir coupable assumé


Week-end à Taipei, c’est comme une pizza 4 fromages à 3h du matin : tu sais que c’est pas de la haute gastronomie, mais bordel, ça fait du bien. Avec des scènes d’action qui claquent, une ville qui en met plein la vue, et une romance qui carbure à l’adrénaline, ce film est un pur plaisir coupable. Pas besoin d’attendre une Palme d’Or, mais préparez-vous à er un sacré bon moment.


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6
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le 21 déc. 2024

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Oni

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